Un petit accroc à l'enchainement de publications sur la gestion de l'effort chez la femme sportive avec 2 petites infographies, issues de mes échanges avec Mathieu LAMBERT, de mes lectures sur l'apport nutritionnel à l'effort.
Pour des efforts de 2h30 à 4h00, il est maintenant acquis que l'apport en glucides doit être massif pour éviter de caler dans le final mais aussi anticiper un possible nouvel effort dés le lendemain (course à étapes).
Pourtant, l'idée n'est pas d'ingérer tout type de sucres n'importe comment sinon...on pose sa quiche rapidement.
A little hitch to the series of publications on the training monitoring for women athletes with 2 pictures, from my exchanges with Mathieu LAMBERT, from my readings on the nutritional contribution during effort.
For trainings or races of 2h30 to 4h00, it's now accepted that the CHO intake must be massive to avoid exhaustion in the final of a race but also to anticipate a possible new effort the next day (stage races for instance).
However, the idea is not to ingest any type of sugar anyhow otherwise... we have a stomach ache and we vomit!
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